Le mouvement date de quelques années maintenant, mais de tous les moyens de la sécurité routière, la médecine, malgré elle, devient le premier.
La confiance faite aux méthodes médicales, aux tests et analyses biologiques ne laisse pas de fasciner le juriste. Dépistage de l’alcool, dépistage des drogues, font, des tribunaux, le pain quotidien. Le lien entre la vérité médicale et celle du prétoire s’avère quelque peu difficile à établir, car ce que la médecine mesure, analyse, n’est pas la culpabilité ou (...)
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